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Étiquette : interview auteure

Interview de l’auteure Anaïs W.

ITW

 

Bonjour à tous,

Aujourd’hui, je suis heureuse d’accueillir Anaïs, une jeune auteure au talent prometteur.  

Bonjour Anaïs, pouvez-vous vous présenter brièvement ?

  • Bonjour Laurence. D’abord, merci beaucoup du soutien dont vous avez fait preuve après la lecture de mon roman et de m’accorder cette interview aujourd’hui.

Pour me présenter, je dirais avoir deux facettes : d’un côté la rigueur que nécessite ma profession de scientifique et, maintenant, d’auteure indépendante… organiser, planifier, avoir du leadership, je sais faire… et de l’autre côté, je suis très sensible, souvent à fleur de peau, très impliquée émotionnellement dans ma vie personnelle. Je suis un peu lunatique dira-t-on ! De nature très expressive, je rigole beaucoup et pleure presque autant ! C’est parfois pénible, mais si on en revient au sujet principal de cette rencontre, c’est aussi ce qui fait tout mon style d’écriture.

Qu’est-ce qui vous a poussée à prendre la plume ?

  • J’ai toujours aimé raconter des histoires et mes parents me forçaient à les raconter bien, sans répétitions et sans « tics du langage » (en fait, en fait, en fait…). C’est l’été de mes douze ans, que j’ai commencé à écrire ces histoires en écoutant la radio, Europe 2, dans la caravane de mes grands-parents. Je m’en souviens comme si c’était hier ! En deux semaines, j’ai préféré noircir des cahiers entiers plutôt que de profiter de la piscine avec mes amis. C’était ma première crise « d’inspiration » et elle est assez représentative des suivantes : lorsque j’écris, je deviens très asociale ! Donc ce qui m’a poussé à prendre la plume ? L’inspiration, qui commençait à déborder, il fallait que ça sorte, noir sur blanc !

Avez-vous des petits rituels lorsque vous écrivez ?

  • La musique est obligatoire. Généralement, je m’assieds devant mon ordinateur ou je prends un cahier sur mes genoux, puis j’enfonce mes écouteurs et m’isole complètement. Pas de café, ni de thé, juste mon esprit, mon histoire et la seule barrière entre les deux, un clavier ou un stylo. La musique est un vecteur qui me plonge dans l’état émotionnel dans lequel j’ai besoin d’être.

« Au-delà des tours » votre tout premier roman est fort en sentiments, le reflet d’un mal-être de la jeunesse actuelle vivant dans les cités, pourquoi avoir choisi de traiter un tel sujet ?

  • Plus que le sujet de la cité, c’est plutôt celui du mal-être de la jeunesse que j’aborde. Le monde de la cité m’a servi de support car l’autorité parentale n’y existe pas toujours. Pour être franche, j’ai commencé à écrire « Au-delà des tours » à l’âge de quinze ans. À cette période, je voulais être Debbie, une rebelle, une fille sans foi ni loi, brutale. Je portais des baggys et « j’emmerdais le monde » mais comme je ne vivais pas dans une cité, je devais contenir ma violence et mes frustrations. « Au-delà des tours » m’a permis d’exorciser ces émotions, de leur donner corps. L’adolescence a été pour moi un véritable enfer et ce sont toutes les émotions connues à cette période et la maturité acquise par la suite qui constituent mon premier roman. Je n’ai pas choisi ce sujet, je l’ai vécu, je l’ai porté et je suis heureuse si le dénouement de cette histoire peut servir aux jeunes d’aujourd’hui, qui se sentent dans l’impasse. J’aimerais leur redonner de l’espoir : même s’ils pensent ne pas avoir d’avenir, tout n’est pas voué à l’échec. Comme Debbie, ils sont les seuls maîtres de leur destin et eux seuls pourront décider d’aller de l’avant et pourront ainsi changer la donne.

Quelles sont les principales difficultés que vous avez rencontrées pour l’écriture de ce roman ?

  • Les sentiments justement. C’est un livre dur, noir, dans lequel j’ai mis beaucoup de moi. J’ai donc souvent dû réveiller mes propres démons, laisser sortir mes peurs, mes doutes pour les coucher sur le papier. C’était une écriture épuisante ou parfois je ressortais complètement déprimée alors que rien dans mon quotidien ne justifiait un tel sentiment. C’est pourquoi il m’aura fallu autant de temps pour l’achever.

Avez-vous tenté le chemin de l’édition traditionnelle ? Pourquoi le choix de l’auto-édition ?

  • Je n’ai pas du tout essayé l’édition traditionnelle, j’ai voulu accompagner mon projet jusqu’au bout car justement, j’y avais mis beaucoup de moi-même. Lors des relectures, j’ai eu de très bons retours et cela m’a conforté dans l’idée qu’une maison d’édition n’avait pas à mettre son nez dans mon histoire et la modifier à sa guise. Et j’aime aussi l’auto-édition par la proximité qu’elle offre avec le lectorat.

Quelles sont vos influences littéraires ?

  • Ce qui m’a inspiré l’univers d’« Au-delà des tours » c’est la lecture de « Moi, Christiane F, 13 ans, droguée, prostituée ». Comme la musique parfois, pour trouver le bon rythme et tirer sur les bonnes cordes, j’ai besoin d’un livre qui nourrit mon esprit. Pour « Au-delà des tours » je sais que j’ai aimé les livres sur l’injustice, la dureté de la vie tel que « Junk » de Melvin Burgess, « Le temps de la colère » de Tawni O’Dell pour n’en citer que deux. J’aime aussi beaucoup Russell Banks, « Sous le règne de Bone ».

Avez-vous d’autres projets de romans ?

  • Oui bien sûr ! J’ai un autre projet de la même trempe qu’ « Au-delà des tours » qui me tient à cœur, l’histoire d’un adolescent, battu par son père… mais c’est de plus en plus difficile pour moi de m’y enfermer… alors je verrai. En attendant, je me suis essayée à une histoire plus polar/suspens qui mériterait d’être terminée un jour et je travaille sur une suite pour « Au-delà des tours », 10 ans après cette première histoire. Vous voyez, des idées, il ne m’en manque pas ! Sachez qu’avant le prochain roman, je compte publier une nouvelle… C’est une surprise !

Pouvez-vous nous présenter votre blog ?

  • Comme je ne bénéficie pas de la vitrine d’une maison d’édition, j’ai dû créer la mienne. Mon site « Les Livres d’Anaïs W. » me permet ainsi de me présenter et d’introduire mes livres. J’y propose les premiers chapitres gratuitement et l’on peut y commander directement l’Ebook ou la version brochée d’ « Au-delà des tours ». J’aime aussi partager avec mes lecteurs cette grande aventure qu’est l’auto-édition, c’est pourquoi chaque semaine, je propose un article : j’y donne les dernières avancées, j’explique mes projets, mes difficultés… certains sont techniques (comment publier sur Amazon, etc…) mais il n’y a pas que ça. Je compte par exemple réaliser un article sur l’inspiration et inviter des auteurs à témoigner de leur propre expérience. Ça sera une occasion pour les lecteurs d’en savoir plus sur l’origine des histoires – parfois folles ! – qu’ils lisent.

Un rêve ?

  • Pour être totalement honnête je dirais : « Je rêve d’avoir un Jeep Cherokee des années 1990. Je pourrai ainsi asseoir mon enfant sur le capot et immortaliser ce moment comme mon père l’a fait avec moi à mes 6 ans ». Le rapport avec mon premier roman et l’écriture ? Cette voiture renferme des souvenirs avec mon père, plus ou moins bons, mais des moments de vie avec lui alors que notre relation a toujours été chaotique, d’autant plus à l’adolescence. Avoir cette Jeep est une revanche sur ces années gâchées, cette complicité difficile à bâtir. C’est une façon pour moi de prouver que ces années compliquées n’ont pas été vaines, car aujourd’hui tout va bien entre nous. Cette voiture est le symbole de ma – notre – victoire. On ne devrait jamais dire « c’est la crise d’ado, ce n’est pas grave ». Rien n’est plus important que cette étape qui détermine profondément ce que nous allons devenir. Cette épreuve m’aura donné une force, une volonté farouche d’être heureuse et je voudrais la transmettre. Je rêve ainsi plus largement qu’ « Au-delà des tours » serve de message aux jeunes en galère, comme un témoignage de combativité. Si Debbie et certainement beaucoup d’autres y sont parvenus, alors ils le peuvent aussi.

 

Merci beaucoup à Anaïs de s’être prêté au jeu de l’interview. Souhaitons-lui de trouver son public et…sa Jeep Cherokee !

Je vous invite à découvrir son roman en cliquant sur ce lien et ma chronique d’ « Au-delà des tours » 

 

Interview de l’auteure Alice Quinn

ALICE-QUIN-auteure

Bonjour à tous,
Aujourd’hui j’ai le grand plaisir de vous présenter Alice Quinn, une auteure à succès au talent certain.

Bonjour Alice, avant toute chose, peux-tu nous parler un peu de toi ? Pourquoi le pseudo Alice Quinn ?

  • Bonjour et merci de me réserver un espace sur ton blog. Je me présente rapidement : j’écris depuis quelques années à présent,                           principalement pour la jeunesse, et depuis 2013, j’ai initié une série adulte: Au pays de Rosie Maldonne. (ce « Au pays » est là pour alerter le lecteur en quête de réalisme, qu’il n’a pas frappé à la bonne porte.) J’ai sorti le premier, Un palace en enfer, en autoédition à la suite de 3 refus d’éditeurs qui n’adhéraient pas au mélange de comédie et de policier. Bien m’en a pris d’avoir continué à y croire, puisqu’il a été numéro 1 des ventes numériques France 2013. Le deuxième : Rosie se fait la belle, vient de sortir sur Amazon, papier et numérique. J’espère qu’il va plaire aux amis de Rosie Maldonne. J’ai choisi Alice Quinn par clin d’œil à la série Alice détective, que je lisais quand j’étais ado, et à son auteur (Carol Quine) qui était, je l’ai appris depuis, en fait, un collectif d’auteur.

Quel a été le facteur déclenchant dans ta vie concernant l’écriture ?

  • Ma mère n’écrivait pas, mais elle racontait beaucoup. Et elle inventait ce qu’elle racontait. Elle était donc, on pourrait dire ça, une auteure orale ? Elle m’a transmis cette passion des histoires… ou plutôt l‘envie de raconter des histoires…

Tu es aussi une lectrice assidue, quel genre de littérature affectionnes-tu particulièrement ? Quels sont tes auteurs favoris ?

  • Ma liste d’auteurs préférés est quasi infinie et si j’en remplissais une page sur plusieurs colonnes ce ne serais toujours pas exhaustif. Je suis extrêmement reconnaissante à la vie de nous avoir donné les écrivains. Nous pourrions vivre dans un monde où cette notion d’imaginaire, de fiction,  n’existerait pas quelle tristesse ce serait ! Chaque fois que je termine un livre qui m’a transportée j’en remercie intérieurement l’auteur d’avoir passé tant de sa propre vie, tant de temps et de travail, tant de passion pour m’avoir offert ce grand plaisir.
    J’aime de nombreux genres différents, j’aime la littérature blanche et noire, j’aime les sagas gothiques, j’aime la Fantasy et le fantastique, j’aime les romans de comédie.
    J’aime les auteurs anciens, classiques comme les contemporains, ou les tous derniers. J’aime la poésie. Les auteurs édités et ceux qui s’autoéditent, les « indés ». 😀
    J’aime les livres écrits avec une économie de moyen comme ceux qui utilisent une profusion de mots et de personnages.
    Ce que je demande à un livre, c’est de me surprendre, de m’étonner, de me séduire, de m’émouvoir, ou de me bluffer, de me faire voyager, de m’aider à m’évader, à rêver, à pleurer ou à rire, peu importe ses moyens utilisés pour y parvenir.
    Je vais donc citer ici seulement 3 auteurs, complètement au hasard : un auteur contemporain : Dany Laferrière, un auteur classique : Mark Twain, un auteur indé : Audrey Alwett.

Lorsque tu écris, es-tu plutôt silence total ou fond de musique ? Café avec carré de chocolat ou thé et petits biscuits ?

  • Ça dépend complètement du contenu du livre. Pour Rosie Maldonne, je me sens accompagnée par une musique intérieure rythmée sur un fond de chansons populaires des années 80. Normal, c’est sa mère qui lui envoie chaque nuit depuis l’au-delà sous forme de rêve, une chanson pour l’aider à affronter sa journée. Pour Banco, je me passais en boucle du jazz musette style Jo Privat. En fait, chacun de mes romans suit un rythme, un phrasé particulier, imposé par le personnage principal. J’écris de façon relaxée, dans un canapé ou dans mon lit avec l’ordinateur sur mes genoux et le chat pas loin. De temps en temps je me lève pour me faire un jus de fruits frais à la centrifugeuse et je le sirote en écrivant quand je lève le nez de l’ordi. Je m’endors parfois en écrivant car il arrive que je me donne tellement pour certaines scènes que j’ai toute mon énergie pompée. Je dors 5 minutes et la machine repart.
    La série de Rosie Maldonne n’a l’air de rien, (c’est le but recherché, la fluidité, la facilité, la légèreté), mais en réalité elle prend pas mal d’énergie. Heureusement qu’elle me fait rire, aussi !

Combien de temps s’écoule-t-il entre le moment où une idée de roman germe dans ton esprit et la conception finale ?

  • Il n’y a pas de règle. J’ai des tas de carnets avec des idées de partout qui traînent. J’ai besoin d’avoir 2 ou 3 idées qui peuvent se croiser et qui ont l’air de pouvoir résonner ensemble pour me lancer. Ça peut aller vite comme prendre parfois des années.

En tant qu’auteure tu n’en es pas à ton premier coup d’essai puisque tu as déjà publié d’autres romans chez des éditeurs, alors pourquoi avoir choisi l’auto-édition ?

  • J’ai publié en autoéditée par réflexe de survie d’auteur. Le système tel qu’il est n’est pas vraiment compatible avec qui je suis. Et j’ai supporté cet état de fait à mes débuts, parce que 1/ quand on est jeune on est plus résilient 🙂 2/ il n’y avait pas d’autre choix. Maintenant qu’il y en a, je m’en saisis avec un sentiment de grande libération, de jubilation et de prendre mon destin en main.

En tout cas, tu es aujourd’hui un modèle pour tous les auto-édités, quels conseils pourrais-tu donner à ceux qui se lancent ?

  • Les mêmes conseils que tous les autres : l’autoédition ne pardonne pas la mauvaise qualité formelle. Donc pour commencer, il faut soigner la forme, je ne vais pas détailler ici, il y a pléthore d’ouvrages sur le sujet. Ensuite, il ne faut pas trop attendre de l’autoédition, car il y a de plus en plus d’autoédités. Donc je crois qu’il faut écrire avec surtout beaucoup de passion et de plaisir. Si ensuite vous avez la chance de plaire à des lecteurs, qu’ils soient 10, 100 ou 1000, ce sera formidable, un cadeau de la vie. Chaque étape de l’autoédition est à prendre avec gourmandise. C’est une chance incroyable, c’est tout nouveau, il faut en avoir conscience. En même temps, il n’y a rien à perdre donc il ne faut avoir peur de rien. Bien faire son travail, et foncer, c’est tout.

Rosie Maldonne est l’héroïne de ton best-seller « Un palace en enfer », pourquoi, à ton avis, les lecteurs ont-ils si bien accrochés au personnage ? Est-ce parce qu’elle est « presque » comme n’importe quelle femme ou plutôt un idéal féminin à cause de sa débrouillardise et son côté sexy ?

  • Si on en croit les commentaires des lecteurs qui ont aimé, en effet, il semble que les gens ont adhéré à Rosie pour sa fraîcheur, sa candeur, sa vaillance, sa générosité, son optimisme au delà des ennuis qu’elle traverse, sa capacité à affronter les embrouilles. Quelqu’un récemment a parlé dans un commentaire, je le cite : « …  une vision assez pessimiste de la société d’aujourd’hui doublée d’une grande joie de vivre. » C’est merveilleux de trouver dans un commentaire une seule phrase qui résume exactement ce qu’on a voulu faire. Cette phrase me définit assez bien d’ailleurs. La plupart des gens voient uniquement dans mon roman le côté léger, rares sont ceux qui perçoivent la noirceur de notre société en filigrane. Certains parfois me reprochent de rire de la misère. C’est tout le contraire. J’essaie de la transcender et de donner du courage, nous en avons tous besoin pour continuer dans ce monde.

Même si « Un palace en enfer » n’est pas autobiographique, tu dis avoir beaucoup de points communs avec Rosie, lesquels sont-ils ?

  • Difficile à dire. Mes proches doivent le voir mieux que moi. Je vois plutôt ce qui me sépare d’elle. Je ne suis pas aussi courageuse, ni aussi belle, ni aussi généreuse, ni aussi jeune, ni aussi candide, ni aussi optimiste. Par contre, comme elle, je n’aime pas rencontrer un problème sans essayer à tout prix d’en trouver la solution. J’aime aller au bout des choses. Je suis têtue et soupe au lait. Et j’aime bien Gaston Lagaffe et Snoopy. 🙂

Ton roman est aujourd’hui publié chez Michel Lafon, peux-tu nous en dire un peu plus ?

  • J’ai rencontré Florian Lafani sur internet. Il est auteur aussi, un type formidable. Il est éditeur chez Michel Lafon et aussi chargé de la numérisation de leur fond. C’est lui qui amène à Michel Lafon les auteurs qu’il déniche dans le top 100 d’Amazon. J’ai un très bon rapport avec lui. Je ne connais pas grand monde à part lui, dans la boîte, je ne peux pas en dire plus. Ils ne m’ont pas signé de contrat pour le tome 2. Par contre le roman, Un palace en enfer sera grâce à Florian sur le catalogue France Loisir très bientôt.

Les nouvelles aventures de Rosie Maldonne viennent tout juste de sortir, avec un titre très prometteur : « Rosie se fait la belle », c’est un réel plaisir pour un auteur de repartir avec son personnage fétiche, n’est-ce pas ?

  • Oui, je vis avec Rosie Maldonne à présent de façon constante depuis 2013 (avec une interruption assez longue due à un accident) et je ne m’en lasse pas. C’est une bonne copine. C’est avec elle que je passe le plus clair de mon temps et il m’arrive souvent devant un événement ou un objet dans une vitrine de « lui » demander ce qu’elle en penserait. Elle m’aide à faire des choix, elle guide mon comportement car je la trouve plus sensée et plus fiable que moi !

Tu as aussi un blog ? Peux-tu nous le présenter ?

  • J’ai commencé un blog en janvier 2015, soit 2 ans après la sortie du livre sur Kindle. Je m’en sers pour annoncer de temps en temps mon actualité livresque, évoquer mes émerveillements,  faire suivre des infos importantes pour les indés ou le monde éditorial en général, et parfois parler d’un auteur indé que je trouve chouette. Ça prend du temps et j’y écris finalement assez rarement, moins que ce que je voudrais. J’ai de plus en plus de gens qui me suivent, ça me fait plaisir.

Quels sont tes projets ?

  • Je termine actuellement mon opus Rosie Maldonne numéro 3 (pas de titre encore), et Rosie se fait la belle va sortir en anglais en février 2016.

Pour finir, si l’on t’accordait un souhait, lequel serait-il ?

  • Rosie Présidente. 😀

 

Un grand merci à Alice pour m’avoir accordée cette interview.
Rosie présidente, je ne sais pas, mais en tout cas il est certain que lire les aventures de cette héroïne des temps modernes vous permettra de vous évader de votre quotidien et vous donnera la pêche.
Alors à quand Rosie prescrite sur ordonnance…
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