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Les aventures de Guilhem d’Ussel, Montségur, 1201 de Jean d’Aillon

montségur, 1201 de Jean d'aillonDans ce dernier volet des aventures de Guilhem d’Ussel (à ce jour), nous retrouvons le chevalier troubadour dans une troublante quête du Graal, qui va l’amener à côtoyer des personnages pour le moins surprenants, tel le comte de Dracul, sombre ambassadeur de Transylvanie, ainsi que d’inquiétants moines de Cîteaux à la poursuite d’hérétiques Cathares.

D’autre part, le cœur du pauvre Guilhem va se retrouver tiraillé entre deux femmes. Une ancienne maîtresse, Amicie de Villemur, veuve et châtelaine de Saverdun, qui se réfugie dans les bras du jeune homme, après avoir été violentée et séquestrée. Mais aussi la belle cathare Sanceline, qui a refusé l’amour de Guilhem dans un autre épisode de la vie du chevalier : Paris, 1199.

Guilhem d’Ussel va devoir s’armer de courage pour affronter les nombreux périples qui l’attendent.

Avec son sens du détail et ses anecdotes croustillantes voire terrifiantes, Jean d’Aillon nous embarque, comme à son habitude, dans une grande et passionnante chevauchée à la découverte de l’Histoire de France.

J’en profite pour remercier chaleureusement Jean d’Aillon, qui a eu la gentillesse de m’offrir ce roman et donc, ce beau moment de lecture…

Les aventures de Guilhem d’Ussel PARIS 1199 de Jean d’Aillon

paris 1199 jean aillon guilhem usselVoici la suite des aventures de Guilhem d’Ussel, dont j’avais déjà parlé lors d’un précédent article.

Cette fois-ci, l’histoire se déroule à Paris en 1199.

On découvre un Richard Cœur de Lion, qui est loin des clichés de films de cape et d’épée. Ce dernier est atteint par un carreau d’arbalète, au cours d’un siège, et décède peu après. Sa mère, Aliénor, demande à Robert de Locksley, le célèbre Robin des Bois, de retrouver le chirurgien qui est, selon elle, responsable de la mort du roi.  Mais le jeune homme est aussi accusé d’avoir dérobé un trésor.

S’ensuit alors une cavalcade effrénée pour Robin Hood.

Un seul homme pourra réellement l’aider, Guilhem  d’Ussel, qui n’apparait en fait, que vers le milieu du roman.

Dans le Paris de Philippe Auguste, nos héros vont faire des rencontres insolites avec des tisserands cathares. Mais des templiers cherchent aussi notre brave Robert de Locksley.

Bref, une intrigue palpitante, une description minutieuse des lieux, des expressions empruntées à l’époque, des rencontres surprenantes avec des héros de la littérature, font de ce roman un grand moment de lecture.

Avec Jean d’Aillon, on ne s’ennuie jamais et une fois refermé le livre, un seul constat s’impose : Vivement le prochain !

La guerre des amoureuses de Jean d’Aillon

guerre des amoureuses1586 : Le duc de Guise, surnommé le Balafré, contrôle la moitié de la France. Henri III n’est même plus le roi de Paris où la Ligue fait la loi, tandis que le huguenot Henri de Navarre conduit une guerre d’escarmouches dans l’ouest du royaume. Décidée à mettre un terme à cette guerre, Catherine de Médicis part rencontrer Navarre, héritier légitime selon la loi salique, pour le convaincre de se convertir. 
Mais est-ce la véritable raison de ce voyage? Pourquoi a-t-elle choisi Michel de Montaigne, l’ami d’Henri de Navarre, comme messager?
Tiraillé entre sa foi catholique et son amour pour la protestante Cassandre de Mornay, Olivier Hauteville se retrouve au cœur du conflit religieux, face à la terrible duchesse de Montpensier qui fomente un odieux complot.
Intrigues de cour, machinations, enlèvement: Jean d’Aillon brosse avec « La guerre des amoureuses » un portrait audacieux de la France du XVIe siècle, et nous fait découvrir, grâce à ses recherches minutieuses, les ressorts cachés de l’Histoire. 

J’ai retrouvé avec plaisir Cassandre de Mornay et Olivier Hauteville, dans le deuxième volume de cette trilogie romanesque de Jean d’Aillon. Cette histoire d’amour impossible, entre un catholique et une protestante, à une époque où ces deux religions se heurtent violemment, est des plus captivante, car elle emprunte une route semée d’embûches, où derrière presque chaque visage, se cache un personnage célèbre.
Le pauvre Olivier va ainsi se retrouver, bien malgré lui, au cœur des pensées d’autres femmes…ce qui évidemment, ne sera pas sans conséquences.

De même, le roman foisonne de détails invraisemblables pour nous autres, mais pourtant bien réels. Difficile, en effet, d’imaginer la cour de Catherine de Médicis dans ses déplacements, avec une suite… particulièrement impressionnante, car le moins que l’on puisse dire est que cette dame ne voyage pas léger !

Une intrigue toujours aussi bien ficelée, nous révèle des personnages hauts en couleur, tel que Henri de Navarre pour ne citer que lui, dont nous découvrons l’intelligence, mais surtout, la tolérance envers ceux qui ne sont pas de sa religion.

Savamment mené, ce voyage à travers le seizième siècle, où tout est affaire de machinations et autres intrigues, est un régal pour le lecteur, qui pourra apprécier à leur juste valeur, anecdotes et dialogues d’époques, que l’auteur, Jean d’Aillon, glisse allègrement au détour d’une phrase, pour nous captiver sans jamais nous lasser…

Visite au salon du livre 2010 de Roquebrune Cap Martin

jean d'aillonJean d’Aillon lors du salon du livre de Roquebrune Cap Martin

Ce jour-là, je me suis levée légèrement chiffonnée, victime d’une attaque de virus hivernal depuis plusieurs jours. Mais il était hors de question pour moi, de ne pas aller faire un petit coucou à mon écrivain favori, qui dédicaçait au salon de Roquebrune.

Alors, sous un temps plutôt froid, nous nous sommes rendus mon mari et moi sur les lieux.L’endroit est agréable, car situé en bord de mer. D’ailleurs, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir une petite mamie en maillot de bain sur les galets, prête à faire un petit plongeon dans l’eau glaciale. Même si j’ai connu, il y a quelques années, une dame capable d’une telle prouesse, j’avoue que cela m’épate et… me glace. Peut-être que nager dans l’eau froide, cela conserve, mais très peu pour moi…

De toute manière, je n’étais pas venue pour cela, mais pour voir Jean d’Aillon. Une fois sous le chapiteau, j’ai trouvé que pour un dimanche matin, il y avait quand même un peu de monde. Comme quoi la littérature est toujours présente dans les esprits, dans ce monde où le virtuel tient une grande place.

D’ailleurs, si vous regardez bien, il y a toutes sortes de personnes qui se promènent dans les allées. Achetant pour eux-mêmes ou tout simplement pour offrir, en cette période de fête. En effet, quel plus beau cadeau qu’un livre sous le sapin de Noël. C’est en achetant un roman pour notre fils aîné, que nous avons rencontré un écrivain fort agréable, Victor Dixen, auteur d’un roman s’intitulant « Le cas Jack Spark ». Histoire en deux tomes. Ainsi mon fils aura la chance d’avoir un exemplaire dédicacé auquel il ne s’attend pas. Un petit plus sympa.

Pour finir, j’ai enfin trouvé Jean d’Aillon. Je venais de passer devant lui sans le voir, en me disant que, zut alors, j’étais venue exprès pour lui et qu’il n’était pas là. Mais si, il était bien là, fidèle au poste. L’occasion d’une belle discussion et d’un bon moment en sa compagnie. Monsieur d’Aillon est toujours aussi gentil malgré l’énorme succès de ses romans, et je ne me lasse pas de lui rendre une petite visite lors de son passage dans la région.

Bon, j’ai résisté et je n’ai pris qu’un seul de ses romans, parce que décembre c’est le mois des cadeaux et je ne sais pas pour vous, mais j’ai pour ma part, des listes longues comme le bras. Entre le budget présents de Noël et les festivités, gloups !

En ce qui concerne le salon, petit clin d’œil à un jeune adolescent de quatorze ans, originaire de Roquebrune, Florian Castellani qui a présenté sa nouvelle lors de ce salon. Comme quoi les jeunes aiment encore la littérature…

L.L.

Marius Granet de Jean d’Aillon

marius granetCe roman nous fait voyager à travers l’époque troublée de la Révolution.

Nous sommes à nouveau à Aix, où trois enfants dont Marius Granet, assistent par hasard à la découverte d’un secret fabuleux dans les ruines romaines. De terribles meurtres et disparitions s’ensuivront, dans un contexte politique particulièrement houleux.

Jean d’Aillon a l’art de nous décrire avec force détails, cette tourmente révolutionnaire, qui a fait basculer la ville d’Aix dans le chaos le plus total. On reste pétrifié devant toutes ces horreurs, perpétrés par des gens ayant perdu alors, toute notion d’humanité.

L’intrigue, bien ficelée, nous fait découvrir différents personnages attachants ou particulièrement odieux. Un ouvrage passionnant, qui ne vous laissera certainement pas indifférent !

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